lire, regarder, écouter : les nourritures terrestres

 

Les livres, les films, les peintures, les photographies, les musiques : ce sont des alliés fidèles et précieux, lorsque tous les repères s'effondrent. Ils accompagnent mes états d'âme, me touchent et me bouleversent, m'entraînent plus loin dans ma propre écriture. Certains livres ont même pu me sauver, m'extirper de la mélancolie et de la solitude dangereuses. J'aimerais que ces nourritures soient des refuges pour d'autres que moi, j'aimerais construire des passerelles d'un livre à l'autre, j'aimerais que nous allions lire dans les parcs sans plus se préoccuper que des nourritures.

 

« Quand tu m’auras lu, jette ce livre - et sors. Je voudrais qu’il t’eût donné le désir de sortir - sortir de n’importe où, de ta ville, de ta famille, de ta chambre, de ta pensée ».

Les Nourritures terrestres, André Gide

 

--- J'aime beaucoup le jeune serveur de la terrasse du Petit Suisse ---

Je lis le Journal d'Anaïs Nin, Inceste (1932-1934)

::: J'ai revu On connaît la chanson et découvert deux films américains : Lord of War (très bien, cynique, intelligent), et American History X (a le mérite de s'intéresser à un phénomène peu développé mais sombre parfois dans un simplisme à l'américaine entouré de bons sentiments - je suis amoureuse d'Edward Norton)

‹ J'écoute les cds de Nova ›

 

- Mon top 5 -

L'Idiot, Fedor Dostoïevski -
Tender is the night, Francis Scott Fitzgerald -
Le Lis de mer, André Pieyre de Mandiargues -
Le Rouge et le noir, Stendhal -
L'Education sentimentale, Gustave Flaubert

 

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